La variable d’ajustement de réformes toujours repoussées ? Nos enfants ! Filières de formation sans espoir, contrats précaires, logement inaccessibles, retraites en voie de disparition, fiscalité punitive: nous ne laissons plus à nos jeunes le choix qu’entre la résignation, la révolte ou l’exil.Un pays qui maltraite sa jeunesse est un pays en danger. L'auteur propose ici une nouvelle alliance entre générations. Extrait de "On achève bien les jeunes", de Bernard Spitz, publié chez Grasset (2/2).
6 septembre 2015